Je vous vois venir avec votre esprit lubrique mais la marchande de plaisir n’avait rien à voir avec les plaisirs de la chair. Ces professionnelles étaient en réalité des vendeuses ambulantes de pâtisseries. Au XIXe siècle, on pouvait entendre crier le soir “Voilà l’plaisir, mesdames, voilà l’plaisir”. Nommées aussi des “oublies”, ces douceurs étaient des gâteaux croquants, minces comme du papier, en forme d’entonnoir coupé en 2 dans la hauteur.
JeChangeDeMétier
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