Ici, rien à voir avec le carnaval mais plutôt l’ancêtre des restos du cœur. En effet, la marchande d'arlequins utilisait les restes des repas des tables de familles bourgeoises et des grands restaurants pour concocter des plats qu’elle revendait pour une bouchée de pain aux plus démunis. Cet assemblage de restes était la seule parade contre la misère.
JeChangeDeMetier
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