Ce titre incarne presque à lui seul le mythique projet Smile qui ne sortira en coffret qu’en 2011, quarante-cinq après les premiers enregistrements. « Pour Noël 1966, Leonard Bernstein présente un documentaire télé pour montrer à un public adulte à quel point la musique pop est géniale, raconte Jean-Marie Pottier. Pour l’occasion, Brian Wilson est filmé seul au piano interprétant Surf’s Up. Cette image sera la seule que l’on aura pendant assez longtemps du titre. »
La chanson sort cinq ans plus tard sur l’album du même nom mais dans une version réenregistrée. Plusieurs versions pirates vont longtemps circuler sous le manteau. Après en avoir entendu une, le musicien britannique Elvis Costello avait confié : « Entendre Surf’s Up, c’est comme entendre un inédit de Mozart sur une cassette. »
OuestFrance
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